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Le Japon serre la vis sur le piratage de mangas : l'IA en renfort !

Le marché noir des mangas et des animes est en plein essor ! Alors que les portails de streaming illégaux engrangent des milliards, les créateurs japonais saignent à blanc. Désormais, les autorités ripostent : un tout nouveau système d'IA est sur le point de traduire enfin ces voleurs de contenu éhontés en justice.

Les pirates du droit d'auteur se frottent les mains

Les chiffres sont effarants : Plus de 1 000 sites pirates déjouent les autorités et amassent des sommes considérables.

L'industrie créative japonaise est confrontée à un problème de taille : elle perd 14,6 milliards de dollars par an ! Les pirates en profitent et agissent à leur guise. Dès qu'un site est fermé, il réapparaît sous un nouveau nom.

Momii Keiko, experte en droit d'auteur, tire la sonnette d'alarme : « Nos équipes travaillent sans relâche, mais c'est comme se battre contre des moulins ! » Les armes classiques contre le piratage – blocage de sites, désindexation des moteurs de recherche, actions en justice – s'avèrent inefficaces.

L'IA, l'arme secrète : la riposte est lancée !

300 millions de yens pour la contre-attaque numérique : Un logiciel super-intelligent traquera automatiquement les copies piratées.

L'Agence des Affaires Culturelles du Japon abat sa carte maîtresse : une toute nouvelle intelligence artificielle est sur le point de mettre un terme aux voleurs de mangas ! Le gouvernement investit deux millions de dollars dans ce système révolutionnaire. La Corée du Sud sert de modèle, où des programmes similaires traquent déjà avec succès les pirates.

Le plan : L'IA scannera rapidement internet à la recherche de mangas et d'animes téléchargés illégalement. Si le test est concluant, les industries du film, de la musique et de la télévision pourraient bientôt bénéficier de ce logiciel « Sherlock » numérique.

La précision est essentielle !

Le succès dépend de la précision – Des innocents ne doivent pas être pris entre deux feux.

Une chose est claire : si l'IA dépasse les bornes, ce sera un fiasco ! De fausses accusations ou des copies piratées passées inaperçues – les deux seraient désastreux. La Content Overseas Distribution Association (CODA) insiste donc sur la précision.

Les experts anti-piratage le savent : la ligne entre l'application stricte des lois et la liberté d'expression est mince. Mais avec la nouvelle arme secrète de l'IA, ils pourraient enfin trouver le juste équilibre. Les voleurs de mangas numériques ont du souci à se faire !

via Agence des Affaires Culturelles du Japon, Content Overseas Distribution Association (CODA), TorrentFreak [1]